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Attachante Kirguizie

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En Kirguizie : du 7 au 28 Aout 2013

Chez des familles d'artisans villageois

3h du matin, arrivee qu'on attendait plus en gare de Bishkek.

12h de décalage au depart et à l'arrivee sembleraient si simples, il faut croire que tout le monde s'accomode de ces heures nocturnes.

Nous convenons d'un prix correct aux deux parties avec un chauffeur de taxi du genre pere de famille rassurant, et nous voilà partis pour plus de 2 heures épiques.Le quartier Kok Jar, où se situe la maison de la famille de Mahabat, jeune femme kirguize habitant en France qui nous a gentiment mis en relation avec sa famille, est un dédale de ruelles de terre battue dans lequel s'enfonce "à l'aveuglette" notre chauffeur. Mes yeux guident les siens, tantot pour eviter un chien endormi sur la route, contourner un nid d'"autruche", lire en cirilique un nom de rue,reperer un des rares numeros inscrits sur les maisons.Il n'y voit rien, ou presque, et s'arrete regulierement pour detresser en fumant. Le telephone de Saikal est sur silencieux, elle ne devait pas nous attendre cette nuit..Les enfants, bien reveillés aprés quelques heures de sommeils ( eux) dans le train, s'amusent de chaque détail et du rodeo de la voiture.Nous trouvons enfin un numero 37, et persuadés d'etre arrivés, nous frappons allegrement sur le portail de fer pour avertir les occupants, eberlués de voir debarquer une famille de francais sourire aux levres avec tout leur paquetage.Et pour cause: ce n'est pas la bonne rue qui s'apelle pourtant kouiroutchouk comme celle que nous cherchons.

Dépité autant que nous, le chauffeur de taxi continuent de sillonner les ruelles, s'agacant de plus en plus.Nous decidons alors de mettre fin à ce calvaire collectif et le sommons de nous remmener à la gare, notre seul lieu familier..le jour est déja là, il est prés de 6h et miracle en sortant du quartier j'apercoit la plaque Kouiroutchouk 37 dans la seule rue peut etre que nous n'avions inspecté. Liesse générale lorsque le monsieur qui ouvre le portail, reveillé par notre vacarme, appelle Saikal de son prénom.

Apres quelques politesses echangées, nous dormons confortablement le gros de la matinée.Tout décalés que nous sommes, nous passons la journée entière à discuter avec Saikal, qui parle un excellent anglais, nous permettant de philosopher allegrement avec son père, bonhomme trés attachant et cultivé : geopolitique, histoire, environnement, nous apprenons beaucoup de l'Asie centrale et de la position Kirguize en son sein.Nous aidons Saikal a preparer un delicieux Plov ( riz carottes et viande).

Sachant que notre arrivée n'était pas tout à fait attendue aujourd'hui, nous n'osons prolonger notre présence. Ces 24 h furent trop courtes avec eux, et nous reviendrons à Bishkek avant notre départ pour la Chine.

 

Nous rejoignons par le train un des plus grands lacs de l'Asie centrale : le lac Yssik Gol " Lac chaud". le village de Kyzyl Tuu longe une oasis de verdure le long d'une riviere se jetant dans le lac.

Ce village est réputé pour sa tradition artisanale de fabrication de yourtes.Nous logons dans la maison d'une famille qui nous a été indiquée par Saikal.

La grande majorité des kirguizes pratiquent un Islam modéré. Nous arrivons en pleine fete de l'Aid, fin du "ramassan" kirguize.

A cette occasion, chaque famille dresse une table avec tous les délices possibles, et invite tour à tour ses voisins.Nous sommes incontournablement invités à partager ces festins. Chaque heure est donc celle de politesses et de dégustations de délicieux mets. Tout est fait "main" hormis les bonbons en papillote :

galettes de pain ( Naan) ou petits beignets( bolsac et tchacthac sucrés), agrémentés de succulentes confitures de fraise, myrtille framboise ou d'abricot.

Elnura, l'une des filles de la famille qui compte 5 enfants, parle anglais. Elle est à l'image de la plupart des jeunes femmes que nous rencontrerons dans ce pays : aimable, curieuse, vaillante, bienveillante!

En septembre, elle a hate de commencer 5 années d'études de psychologie à l'université turque de la capitale. Sa soeur aussi quittera la maison pour étudier la philosophie.El Aman, 19 ans, restera au vilage avec ses deux freres agés de 3 et 7 ans. Au contraire d'autres pays d'Asie centrale, la femme tient une place d'honneur, issue probablement de la tradition nomade matriarchale.Cela induit dans le pays une ouverture et un dynamisme de nature à laisser optimiste pour l'avenir du pays,frappé aujourd'hui par un fort taux de chomage! Il est a parier que ces jeunes personnes vives, diplome en poche, auront l'ambition de developper leur pays. Nombre d'entre elles revent et quittent parfois leur pays, avec des destinées trés variables.

En tous cas la vie de cette famille et de ce village nous laisse grandement méditer sur la notion de bonheur.Ils semblent en parfait équilibre entre un mode de vie rural, autonome, traditionnel, et l'accés à la modernité, l'ouverture au monde.

Leurs besoins premiers sont satisfaits, au prix d'un travail important qui entretien leurs savoirs faire agricoles et culinaires, de même que leur identité et leurs liens sociaux.

La plupart des familles possedent du bétail (gardé en été dans les hauts paturages par un berger) qui fournissent lait beurre yoghourt viandes. Les jardins fournissent des légumes en quantité et les arbres croulent sous les fruits.Le poisson abonde encore dans la riviere toute proche, qui permet l'irrigaton en abondance. Les maisons de terre crues sont confortables. Ils ont a présent augmenté leur richesse grace aux nombreuses commandes de yourtes qui leur sont faites, et qui procure du travail au village entier. Les maisons sont nombreuses à être équipées de réfrigérateurs et appareils électroménagers, signe de richesse évident.

Enfin au dela de ces besoins, les liens familiaux et de voisinages nous laissent penser ce que pouvaient etre nos campagnes il y a un demi siecle. Les enfants jouent et courents de toutes part quand ils ne participent pas aux taches familiales. Les familles s'entraident à l'évidence.

 

 

Festival international du feutre  de Kyzyl Tuu


Ce festival ouvre sa 2eme édition. Tout le village est en ebullition, tous les shyrdaks, alagiz, peaux de betes et autres tapis sont accrochés aux portails, la rue principale du village est arrosée contre la poussière et les gamins du village se sont organisés pour offrir les services de "taxi-ane" comme disent Martin et Simon. Tout le monde porte les habits traditionnels, Kalpak (chapeau de feutre) pour les hommes, robes et vestes pour les femmes surmontées de coiffes de coton impressionnantes, semblables à de gros rouleaux de coton posés sur les têtes, avec une tresse dans le dos. Les vraies traditionnelles ont en fait les cheveux tressés en 2 nattes (apres mariage) avec des bijoux pesant au bout des nattes afin de conserver une posture bien droite.

Le festival, initié par une jeune femme du village et financé par une fondation américaine, cherche a promouvoir les traditions  ainsi que les valeurs nationales. Ainsi étaient présentés différents ateliers de travail de la laine de mouton : feutre, tressage pour les yourtes, décorations, tapis, mais également cordage de crin de cheval et confection de nattes: tapis de paille. (pour les détails, voir l'onglet Artisans de notre blog) Toutes ses activités réalisés en chantant, femmes assises selon leur habiture pour papoter ou rigoler. De gros moyens étaient mis en oeuvre pour immortaliser ces moments et des caméramans, interviewer n'ont cessé d'enregistrer les témoignages de toutes ces dames.
Le festival avait pour thème "la dote de la fiancée". Toutes ces merveilles sont en effet offertes aux mariages, notamment de la part de la maman pour sa fille. Le soir un spectacle son et lumière de grande envergure exposait donc le déroulement d'un mariage au moyen age, rituel qui semble avoir peu changé.

Le lendemain, place aux jeux masculin, tir à la corde, lutte kirguize..

 

A Kum Dobo, nous passons 3 jours formidables dans la famille de Gulira, la maman de Saikal et Mahabat. Nous logeons dans la maison de Janloo, sa soeur ainee. Tokoégee nous prend sous son aile et nous fait découvrir toutes les richesses artisanales de cette région magnifique, et notamment la confection des tapis que nous aidons à réaliser. La jeune Chopen Aye (Etoile Lune) est ravie de pratiquer son francais en notre compagnie, et les enfants Nurdan Eldir et Adil nous offrent un spectacle de poesie traditionnelle "Manas", issu de la tradition orale, faite d'improvisation et de rythmes etonnants.Martin et Simon passent du temps à observer le chef de famille, Muran, qui remonte complètement une Lada de 40 ans, voiture fétiche des garcons.Nous aidons Toktogul a préparer de délicieuses confitures de cassis, dont une bouteille fera le délice de nos petits dejeuners jusqu'en Chine. Merci pour nous avoir fait partager votre vie de famille!

 

Voir des photos et reportages des artisans de yourtes et tapis traditionnels kirguizes dans la rubrique "artisans rencontres".

 

Chez les bergers prés du Son Kol, perle de la Kirguizie

Sonkol est le nom d'un lac de montage situé à 3200 m d'altitude, au centre du pays.Son eau cristalline est bien sur trop froide pour que Martin et Simon puisse patouiller comme à Issik kol; mais sa couleur pastèle dans un décor de montagnes douces parfois enneigées procure un sentiment de paix rare. L'été le lac est le lieu de paturage de tous les ovins et chevaux, ânes de la vallée et des familles s'installent là haut pour la saison, sous leurs yourtes. Certaines accueillent des touristes et le lac voit donc fleurir des ilots de yourtes sur ses abords.3 jours ô combien ressourssants! Nature à l'état pur, troupeaux d'animaux en liberté ou quasi liberté (les plus rebelles se font attacher les deux pattes avant) sur la steppe. Seul les chiens et les anes perturbent le silence. Kuban, notre chauffeur/guide, nous propose gentiment quelques balades le long du lac, que nous réalisons en compagnie de son ami, patriarche de notre famille d'accueil(Aksakal); Martin et Simon approfondissent leurs connaissances sur le nom des animaux et apprennent à vivre comme des nomades au sein de cette famille que Rosa mène à la fois gentiment et de main de maitresse. "Tchai" au petit déjeuner, au dejeuner, à 5 heures et au diner; Simon se goinfre de pain à la confiture et prend vite le rythme.Rosa est aidée de ses 3 première filles pour préparer les repas et autres taches ménagères; ainsi que pour s'occuper de la 4eme petite Simbat de 4 mois, trimbalée de bras en bras, emmaillotée comme une poupée russe. Altenai monte l'ane pour aller chercher l'eau au puit un peu plus bas, Bermet prépare un pain feuilleté délicieux que nous dégustons avec le beurre que nous avons fait le matin. Ishem, le père de famille, allume les petits poeles de cuissons ou de chauffage des yourtes, aide à traire le lait lait des juments que la famille boira une fois fermenté ( Le Koumys legerement alcoolisé est la boisson nationale). Nous avons eu la chance de profiter de cette vie de nomades sous un soleil aussi agreable qu'utile, adoucit par un vent frais constant, sans aucune trace d'ombre sur ces paturages enherbés (Jailoo). La nuit, la voute céleste recouvre notre paradis comme une cloche sur un oasis perché, les milliards d'étoiles offrent un spectacle magnifique, d'une pureté et d'une profondeur exceptionnels. Au Sonkol seul l'essentiel s'impose : les besoins premiers (se nourrir, se chauffer,se déplacer,entretenir des liens sociaux et familiaux), en pleine nature et en toute liberté.

Vers le sud, découverte d'une autre Kirguizie

Depuis la capitale, nous rejoignons Osh, seconde ville du pays, en 2 jours de trajet longs et fatiguants.

Coincés 6h puis 10h sur la dernière rangée d'un minibus avec chacun gosse sur les genous, dans une route montant à plus de 3500 m d'altitude, nous subissons des secousses dignes de ces ex-montagnes russes ! Difficile parfois egalement de faire confiance au chauffeur, tantot lancé en rodeo avec une autre voiture, ou réparant à la hate un probleme d'essieu au bruit plus que suspect. Les passagers vomissent en silence, puis lancent leur sac plastique discretement par la fenetre.Nous resistons tous les 4 tant bien que mal à cette valse vomitive. heureusement, le paysage est splendide. A Tok Togul un barrage immense irrigue la vallée désertique au bas d'une chaine pelée, souvent rouge, ravinée, sur des dizaines de kilomètres.

Osh, capitale du sud du pays, distante de quelques kilometres de l'Ousbékistan, revèle une ambiance tout autre qu'au nord et au centre du pays.Chaude, bouillonante,elle réputée pour l'effervescence, les couleurs et les saveurs de son marché prés duquel nous logeons.

En fin d'aprés midi, nous profitons de l'ambiance familiale d'un parc ombragé, dont les maneges font le bonheur des petits et des grands.

Depuis la terrasse du batiment que nous occupons, sorte d'entrepot désafecté transformé en chambres de bric et de broc, le soir nous contemplons le coucher du soleil sur la ville qui s'endort à l'unisson du marché,tant que retentit l'appel à la priere.

Martin et Simon jouent sans cesse,dans chaque lieu se créent des histoires et leur univers à eux avec tout ce qu'ils trouvent sous leur main.

Pour nous rendre vers la frontiere chinoise, pas de transport collectif! Dolat, pour un prix juste qu'il est souvent difficile de négocier, nous conduit donc dans son taxi.En chemin il récupère son frère, qui nous propose de passer la nuit avec sa famille dans sa yourte au milieu des paturages.

Ainsi se poursuit notre vagabondage, à l'aventure sans risque, celle qui consiste juste à ne pas savoir de quoi l'heure qui vient sera faite, au prix d'une bonne confiance et d'un brin d'audace.Abderahe et sa femme Jarkenaye gardent leur troupeau, accompagnés de leurs 4 fils qui ont entre 10 mois et 13 ans, pendant ces 3 mois d'été.Début Septembre, le froid deviendra trop cinglant en ces hauts paturages, et ils reconduiront leur troupeau et leur yourte au village de Segundo, situé plus bas dans la vallée. Cette dernière rencontre en Kirguizie nous remplie une fois de plus le coeur de cette hospitalité chaleureuse.

Le paysage est l'un des plus beau que nous ayant vu: nous faisons face à la chaine du Pamir Kirguize et Tadjik, dont le pic Lenine, fleuron d'altitude de l'ex URSS, taquine les 7500m.Si nous distinguons bien le bas des glaciers, qu'on croirait pouvoir toucher tellement ils semblent prés, les sommets jouent à cache cache.Sitôt qu'un nuage s'eleve un autre semble apparaitre, mais c'est un blanc plus net. C'est vraiment un pic, que c'est haut!

Aprés un copieux plat de patates (Kartochka) que nous dévorons, nous passons la nuit blottis tous les 10 sous de chaudes couvertures.Nural, Le bébé de 10 mois collé contre Martin, nous reveille à quelques reprises mais le sein de sa mère le fait vite taire.L'occasion pour le père de remettre quelques bouses sechées dans le poele.

Au matin, il nous faut rejoindre la route principale, et c'est l'animal préféré de Martin et Simon, l'ane, qui nous aide à transporter nos gros sacs à dos. Il nous faudra plus de temps à pied pour faire ces 2 kms que de rejoindre la frontiere chinoise.En effet Martin et Simon n'ont pas à lever deux fois le pouce pour que leur reve se réalise: un gros camion Kamaz nous embarque et nous mène à la frontière à 30 kms de là.

Le poste kyrguize se passe sans encombre, nous reprenons un camion qui nous laisse à quelques kms, qui nous laisse à quelque distance avant le poste chinois.Ainsi nous arrivons à pied par la chine, à la stupeur amusée d'une quizaine de jeunes militaires, dont le plus vieux n'a pas 25 ans.Ils mitraillent les enfants de photos avec leur téléphone, tandis que leur chef fouille nos sacs dans cette ambiance souriante et décontractée.Le pot Pipi/Caca de Simon les fait rire, le filtre à eau un peu moins, il est en effet des bombes moins sophistiquées.

L'ambiance se ternit lorsque le commandant, au regard de serpent, nous fait traduire que malgré nos visa, chèrement acquis et en règle, il refuse de nous tamponner les passeports et nous devrons rester la nuit au poste frontiere. Pretexte: security! Nous avons pourtant un hotel réservé à Kashgar, 200kms de là, que nous pourrions encore rejoindre le soir même.

Les jeunots sont désolés pour nous, mais profitent de ces quelques heures avec les enfants dont l'innocence, l'insouciance et les rires agayent le coeur, s'il en est besoin!

Assignés dans ces montagnes inhospitalieres, à avaler la poussiere en controlant des camions sans histoire, combattre le froid, ainsi va leur jeunesse.Notre courte mise en quarantaine nous emeut moins que ce spectacle attendrissant et insolite, notre situation est de loin plus enviable que la leur!

17h, à notre etonnement les jeunes garcons reussissent à infléchir la décision du commandant et nous apportent fièrement nos 4 passeports tamponnés en nous souhaitant : " Have a good time in China!"

Naifs qu'ils sont! A cette heure de fermeture tous les camions passés sont partis, et les autres attendrons jusqu'à demain.

Les bras chargés et balants à la fois, nous parcourons du regard ce village fantome d'Irkeshtam,fait de taudis et de poubelles, habité essentiellement de chiens errant, où il va nous falloir passer la nuit!

Une épicière nous propose de partager sa pièce: l'hospitalité kirguize (dont elle est originaire) se moque bien de la frontiere, qu'elle traverse comme une onde de chaleur!

 

a suivre: article  "Chine de l'ouest"

a suivre: article "Chine de l'ouest"

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Commentaires: 3
  • #1

    Noémie (mercredi, 21 août 2013 11:16)

    Salut à tous les 4,
    Ça fait plaisir de lire vos aventures. Déjà pas mal de choses à raconter (plus tout se qui ne se raconte pas j'imagine...) en quelques semaines de voyage.
    Quel beau voyage vous entreprenez!
    A l'Alec les activités reprennent calmement (je suis seule à Bayard cette semaine!) après les breaks estivaux de tout un chacun.
    Profitez bien de cette "Parenthèse enchantée" de quelques mois!
    Noémie

  • #2

    MF G VESVARD (dimanche, 01 septembre 2013 09:14)

    Beaucoup de plaisir à vous lire et à voyager avec vous. C'est bien parti!
    Pour nous le voyage en Chine se prolonge par l'image et par la lecture, nous tentons de comprendre de ce que nous avons vu! C'est tellement loin des idées reçues!
    Nous avons initié Matthieu et Arthur au camping: moins d'étoiles qu'en Kirghisie mais ils sont prêts à repartir!
    Nos amitiés à partager en famille,
    Marie Françoise et Gilles

  • #3

    famille BUilashov (lundi, 09 septembre 2013 14:44)

    Bravo la famille!! en regardant les photos on en a les larmes aux yeux, ça donne envie de reprendre la route comme vous avec les enfants.
    On pense à vous tous les jours,
    Take care
    Grosses Bises
    Esentur, Saikal, Gulira, Mahabat, Dastan, Pierre